Primaires Socialistes

    Les voeux empoisonnés de la présidente de Poitou-Charentes devant la presse
    Deuxième acte du Congrès de Reims
    Sa Cynique Majesté Royal (PS) a indiqué lundi à Poitiers qu'elle espère bien un scrutin des primaires socialistes "régulier", qui se déroule "dans la transparence" et avec "une égalité de moyens" entre les différents candidats, insiste-t-elle.
    Le paysage au PS n'est guère lisible et tout le monde a en particulier gardé en mémoire le "pacte secret" de non-agression qu'avaient passé entre eux DSK et Aubry, laissant la verrue de 2007 sur le bas côté, jusqu'à ce qu'elle saute sur les pacsés, comme la misère sur le peuple.
    "Nous avons déjà dit que nous réfléchissons ensemble, comme Ségolène (Royal) a dit qu'elle souhaitait réfléchir avec nous et donc nous proposerons une candidature véritablement ensemble, c'est-à-dire pas l'un contre l'autre ou l'une contre l'autre ", admis Martine Aubry, en novembre 2010 sur France 2.
    Lien PaSiDupes vers la pagaille 'rose' du poker menteur socialiste
    "J'espère que ça sera fait dans de bonnes conditions et que le scrutin sera régulier, si vous voyez ce que je veux dire", a régurgité ce weekend la refoulée du Congrès de Reims, en une allusion aigre au vote de 2008 où Martine Aubry l'avait battue d'extrême justesse pour le poste de premier secrétaire du parti.
    Les promesses de la Ch'tite, la main sur le coeur
    L'amère de Melle a expliqué que la maire de Lille s'est coupée les ailes.
    Martine Aubry "s'est engagée sur la régularité du scrutin puisqu'il y a même un code éthique" à ces primaires. "Il faut tenir fermement la barre de ce code éthique et du bon déroulement des choses, et ne pas revoir les errements que nous avons connus récemment", a-t-elle insisté, prônant aussi "un scrutin à égalité de moyens entre les différents candidats" .
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    Six mois avant tout le monde
    Quatre débats télévisés auront lieu dans le cadre des primaires socialistes pour 2012 a annoncé ce mercredi Harlem Désir, le premier secrétaire du PS par intérim.
    Trois de ces confrontations seront organisées dès le 9 octobre 2011 entre les six candidats avant le premier tour de l'élection interne; une quatrième aura lieu entre les deux tours et toutes avant l'ouverture de la campagne de la présidentielle...
    Rien n'oblige pourtant à ce que les six candidats socialistes à la primaire pour 2012 se montrent à l'ensemble de l'électorat français pour une confrontation strictement interne.
    Les media télévisuels dédiés au PS se dévoilent
    Le premier débat sera organisé le 15 septembre par France Télévisions, en partenariat avec Le Monde, à 20h30 pour une durée de 2 heures.
    Le deuxième aura lieu le 28 septembre, de 18H00 à 20H00, après les sénatoriales du 25, sur i-TELE, en partenariat avec Europe 1, le quotidien Le Parisien et les chaînes parlementaires LCP et Public Sénat.
    La troisième confrontation se déroulera le 5 octobre, à 20H30, quatre jours avant le premier tour de la primaire . Elle sera organisée par BFM-TV avec RMC, à nouveau en partenariat avec les chaînes parlementaires.
    Enfin, le quatrième et dernier débat prévu entre les deux tours, "nous avons retenu la proposition de France Télévisions" à nouveau, a indiqué M. Désir. "Il pourrait se tenir le mercredi (13 octobre)", a-t-il précisé.
    Les candidats à la primaire des 9 et 16 octobre étaient d'accord pour débattre dans les media, mais les conditions (thèmes, modalités, dates...) restaient à définir.
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    Ségolène Royal et les primaires socialistes
    Il est venu le temps de passer aux choses sérieuses, les primaires socialistes ont lieu le 9 et 16 octobre prochain.
    A l’heure où j’écris ses lignes, le dernier sondage diffusé donne François Hollande vainqueur des primaires socialistes.
    Regardons la situation sous l’œil de l’astrologie, qu’en est-il pour Ségolène Royal ?
    Ségolène Royal bénéficie comme Martine Aubry de la douceur et la sympathie de Vénus, mais uniquement pour le premier tour. Mais le thème dressé pour le second tour montre que les facteurs célestes ne lui sont pas favorables.
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    La primaire socialiste va bientôt commencer et ça fait causer chez Nicolas qui du coup en fait deux billets. C'est assez drôle car justement la primaire à gauche est faite pour que les candidats échangent et débattent avec les Français qui sont intéressés en votant eux même pour choisir le candidat PS à la présidentielles.
    Alors que le taulier du Wikio en parle est une bonne chose et même si l'on peut ne pas être en harmonie avec son point de vue, au moins il suscite le débat.
    Je l'ai déjà dit et écrit sur ce blog, le projet socialiste existe et doit servir de trame et de fil conducteur au programme que le candidat ne manquera pas de proposer aux Français au printemps prochain. Tous les candidats ne partent donc pas d'une feuille blanche, loin s'en faut, puisque la ligne directrice est fixée par les militants socialistes qui ont voté et approuvé ce projet. Alors la question à se poser est de savoir comment différencier tel ou tel candidat à la primaire ?
    La personnalité des candidats à la primaire et leur positionnement au sein du PS sont bien évidemment des éléments qui influent beaucoup sur les militants socialistes. Les militants PS sont censés être au cœur du dispositif et par conséquent ils devraient mieux en maitriser les données. Mais le fonctionnement "par motion" du PS revient en fait à ce que le parti soit composé de clans attachés à une ou plusieurs personnalités. Ainsi par exemple, un militant votera pour le leader de son courant s'il est candidat.
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    " Dans l’équipe de François Hollande "
    Aujourd’hui prennent fin les dépôts de candidature pour les primaires socialistes. Comme vous le savez, c’est François Hollande que j’ai choisi de soutenir car pour moi, il est celui qui incarne le mieux la ligne politique que je porte depuis longtemps. Comme je l’ai déjà écrit sur mon blog, François est le mieux à même d’impulser la dynamique économique dont notre pays a besoin pour répondre aux exigences de justice sociale auxquelles aspirent les Français. Il est celui qui porte le plus la vision européenne indispensable pour sortir notre continent de la crise.
    C’est une vision que nous portons ensemble et que partagent de nombreux élus : ceux qui comme moi se reconnaissaient dans la ligne strauss-kahnienne comme Pierre Moscovici, Safia Otokore et leurs amis de Besoin de Gauche, mais également Vincent Peillon et ceux d’Espoir à gauche, ainsi que mes collègues Roland Ries, François Rebsamen, Aurélie Filippetti, Vincent Feltesse, Bruno Le Roux, Jean-Marc Ayrault, Jean-Yves Le Drian, Edmond Hervé, ou encore Jérôme Cahuzac et bien d’autres…
    Dans notre région la liste est longue de Maurice Vincent à Pascal Terrasse, sans oublier Thierry Repentin, André Vallini, Jean Besson, Jean-François Debat et de nombreuses élues comme Laure Deroche, Christiane Demontès, Bernadette Laclais, Alexandrine Pesson, Sylvie Guillaume, Martine Roure, ancienne députée européenne, ou encore la jeune Sarah Peillon. François Hollande enregistre jour après jour de nombreux soutiens.
    Hier, il a dévoilé le collectif qui va l’entourer tout au long de ce processus démocratique qu’a choisi le PS pour désigner son candidat. C’est tout naturellement que j’ai accepté sa proposition de rejoindre son équipe de campagne. Je serai chargé des questions liées aux entreprises et aux grandes villes.
    Je suis très heureux de pouvoir ainsi apporter mon expérience et ma contribution sur ces thématiques de prédilection. C’est pour moi une reconnaissance de ce modèle lyonnais que je continue de promouvoir avec la plus grande détermination. Un modèle de plus en plus perçu comme une référence en Europe dont j’ai souvent souligné qu’il était transposable à l’échelle de notre pays.
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    Vendredi, Ségolène Royal est venue, sur un de mes marchés, procéder à la mobilisation pour sa candidature au milieu d'une assemblée rigolarde et somme toute, assez indifférente. J'ai été surpris du peu d'intérêt suscité par sa présence, atténué par quelques vivats de ses rares groupies.
    De bien mauvais augures pour une participation vraiment populaire à cette pré-sélection.
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    Présentation de l'éditeur
    Les socialistes ont décidé d'organiser des primaires en octobre 2011 pour désigner leur candidat à l'élection présidentielle.
    La consultation n'est plus ouverte aux seuls adhérents, comme en 1995 ou en 2006, mais aux électeurs de gauche. Comment le parti d'Epinay en est-il venu à adopter une procédure qui contrevient à sa culture organisationnelle et qui dévalue le militantisme ? Comment un parti de militants historiquement hostile à la présidentialisation en vient-il à approuver une procédure qui lui accorde une place centrale ? Cet ouvrage remet en cause la vision enchantée des primaires socialistes, présentées comme une " révolution démocratique " qui donnerait un nouveau droit aux électeurs.
    Les primaires consacrent de fait la personnalisation du débat public, la présidentialisation du système politique et la domination des logiques d'opinion. Elles contribuent à l'affaiblissement de la légitimité militante et idéologique d'un parti que ses dirigeants ont été incapables de " rénover " - accréditant l'idée qu'il était une forme politique dépassée. Les socialistes tournent ainsi le dos à une conception historique du parti comme lieu d'élaboration collective, d'éducation populaire et de mobilisation idéologique.
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    L'algarade entre Manuel Valls et Benoît Hamon sur les 35 heures ne fait que mettre en évidence le piège dans lequel s'est enfermé le Parti socialiste, piège depuis longtemps signalé dans ce blog.
    Le système des primaires socialistes est trop tardif, c'est un fait. L'accélération du calendrier est rendue impossible par la situation de Dominique Strauss-Kahn, et il est peu probable que le déroulement des opérations soit modifié. Mais ce n'est pas là son principal défaut. Après tout, si chacun pouvait bâtir un programme cohérent, l'investiture par le parti ne serait plus qu'une étape dans un processus plus long, qui permet de se faire connaître par l'opinion.
    Mais l'élaboration collective d'un programme du parti sans savoir quelle tendance l'a emporté pour la désignation est surréaliste. Elle bride le débat d'idées entre les candidats aux primaires. Si on veut absolument que les adhérents et les sympathisants choisissent, si on renonce à la logique qui veut que le leader du parti soit le candidat à la présidentielle, il faut au moins leur donner à choisir entre des lignes bien identifiées et peut-être même des équipes en voie de constitution.
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    Invité vendredi soir de Canal+, Dominique de Villepin a été catégorique : “Quand le procureur de la République Jean-Claude Marin dit "J’ai décidé", c’est faux. "Le procureur n’a pas l’autorité pour prendre une telle décision. Il y a eu une réunion hier jeudi à l’Elysée où cette décision a été prise... C’est un fait. Je vous dis, je vous affirme. Je n’ai pas l’ombre d’un doute”. Et Dominique de Villepin, qui était secrétaire général de l’Elysée quand Jacques Chirac était président, a expliqué avoir eu cette information “par des fonctionnaires de la présidence de la République”.
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    Les primaires socialistes révèlent-elle un renouveau de la politique ou signent-elle seulement sa "pipolisation" croissante? De nombreux socialistes les présentent comme une grande avancée démocratique dans le fonctionnement du PS. Leurs défenseurs convaincus mais réalistes admettent, à l’instar de Romain Pigenel : « la promesse des primaires a été, de fait, la seule vraie rénovation qu’a connue le PS depuis le congrès de Reims en 2008 ». D’autres, moins prudents, brandissent avec une satisfaction sans nuance l’étendard de la « modernisation heureuse ». Ils se félicitent de cette évolution à l’américaine, qui s’opposerait à la rémanence vieillotte du « tous derrière le chef » prévalant -tant bien que mal- à droite.
    Pourtant, à observer les mille péripéties de cette étonnante séquence politique sur laquelle plane désormais l’ombre tutélaire d’un DSK quasi-réhabilité, on peut se demander si ce n’est pas elle, au contraire, qui présidentialise le plus l’avant-2012, en important à l’intérieur même de l’un des principaux partis en lice les défauts que l’on prête à notre
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    Les cantonales passées, la grande machine des primaires socialistes est désormais prête à se mettre en branle. Il devrait s’agir d’un formidable évènement démocratique pour notre pays dans lequel tous les citoyens de sensibilité progressiste devraient pouvoir se retrouver pour désigner un candidat de gauche, fort d’une légitimité incontestée, capable d’aller affronter la droite en 2012. Mais comme le Parti Socialiste n’aime pas faire les choses en trop grand, la France ça n’est pas Hollywood non plus, on préfère parler ces derniers temps de « primaires a minima ». Pas de meeting national, ni de grand débat télévisé avant le premier tour, juste un « oral » (une succession de discours j’imagine) à l’occasion des Universités d’été de La Rochelle. Enfin, si les Français sont sages, ils auront peut-être droit à un débat télévisé entre les deux tours, si deuxième tour il y a.
    Dommage donc que la gauche française ne fasse pas de ces primaires une formidable occasion de débattre et de mobiliser les électeurs en vue de 2012. Le débat idéologique peut être passionné entre les candidats et passionnant pour les citoyens sans que cela ne représente une entrave majeure au devoir d’union post-primaires. Il suffit pour cela d’un peu de discipline, un principe que les démocrates américains n’ont eu aucune difficulté à appliquer en 2008 avec Obama mais que les socialistes français semblent abhorrer. Ils détestent appliquer la discipline comme ils détestent parler de capitalisme. Ils l’ont prouvé en 2007 à travers leur soutien très timide, c'est le moins qu'on puisse dire, à Ségolène Royal.
    Ces primaires a minima ont donc pour objectif (à peine masqué) de faciliter la tâche de Dominique Strauss-Kahn qui souhaite participer aux primaires à condition de ne pas les perdre. Il pense sans doute qu'il lui faut éviter un grand débat publique qui permettrait de mettre tous les candidats au même niveau. Il sait bien que les Français sont imprévisibles et ne se laisseront pas dicter leur choix par les médias. Ils l’ont prouvé en 2005 lors du référendum sur le traité constitutionnel européen. Dites aux Français qu’ils doivent voter « bleu », ils iront voter « rouge » ou « jaune ».
    En attendant de pouvoir comparer, quand même, à la fin de l'été les propositions des différents candidats en course, je vous propose de retrouver ci-dessous la liste des candidats déclarés et potentiels et le degré de sympathie qu’ils m’inspirent. Je tiens à préciser qu'il s’agit du niveau zéro de la politique. Pas de réflexion, juste du ressenti.
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    Primaires socialistes : haro sur le fichage !
    Durant le dernier week end, on a vu se développer une véritable campagne contre les primaires socialistes, accusées de mettre en œuvre « un gigantesque fichage politique », formule employée par Jean François Copé. Le député UMP Edouard Courtial a même saisi la CNIL pour lui demander d’interdire cette consultation qui pourrait déboucher sur le « flicage des fonctionnaires territoriaux ». Le ministre de l’Intérieur lui même déclare redouter la création d’une « liste nominative d’opinions politiques en France ».
    Une telle volée de bois vert fait sourire, lorsque l’on songe que la CNIL a fait 1385 vérifications en 2009 dans le fichier STIC du ministère de l’Intérieur, aboutissant à 17 % de radiations, 63 % de modifications, seules 20 % des fiches se révélant exactes (rapport 2010 de la CNIL). Du STIC à l’abandon d’EDVIGE, le ministère de l’Intérieur a donc aussi quelques problèmes avec les fichages des citoyens.
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